Dans les coulisses d’une publicité de la Nissan Sentra

Publié le 13 mai 2016 dans Actualité par Samuel Labrie-Ross

Assister à un tournage de film est quelque chose d’impressionnant, mais assister au tournage d’une publicité d’un constructeur automobile est quelque chose d’encore plus extraordinaire.

Tournée dans le centre-ville de Montréal, la publicité à grand budget de la Nissan Sentra 2016 a requis plus de 100 personnes. Il y en avait partout! Les policiers bloquaient les rues, tandis que les visiteurs devaient regarder de loin ce qui se passe. L’équipe fut à son poste tout au long de la nuit.

Un camion avait arrosé la rue pour qu’elle paraisse mieux à l’écran et pour que ce soit plus facile de faire déraper les voitures des vilains. Même si tout le monde courait en tous sens, tout était bien coordonné, chacun faisait son boulot.

Le réalisateur, Hans Bjerno, a demandé à son équipe de travailler en vitesse, mais de bien travailler. Cet homme fait également partie de l’équipe B du 5e film de l’opus Pirate des Caraïbes, attendu en mai 2017. L’Américain est venu prêter main forte afin de compléter un tournage en deux nuits plutôt que trois.

Des équipes de Toronto, Montréal, Vancouver et de la Californie ont uni leurs forces afin de créer une publicité percutante. D’ailleurs, ils ont apporté un utilitaire Mercedes Classe M de première génération assez spécial : il avait un bras articulé avec, au bout, une caméra fixée très solidement. Il en existe très peu dans le monde, celui-là a probablement tourné des films avec de grandes poursuites comme les Fast and Furious, les James Bond, etc.

Le concept de la publicité

L’espion fuit les vilains, vole la nouvelle Nissan Sentra 2016 et utilise tous les éléments du bouclier de sécurité de la voiture. Le système de freinage d’urgence, la caméra de recul, le détecteur d’angles morts et l’alerte de trafic transversal font partie de ce que propose Nissan pour la sécurité. Puisque l’espion est un pro, il ne va pas détruire la bagnole comme dans certains films, mais simplement garer la voiture à l’endroit où il l’a prise.

Le vice-président, directeur de création chez Tam-Tam/TBWA, Manuel Ferrarini explique qu’il est vraiment compliqué de filmer des voitures : c’est un miroir, on voit toujours ce qu’il a y aux alentours. M. Ferrarini s’occupe de transposer la publicité en français.

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