Toyota Yaris 2018: aperçu

Publié le 21 mars 2018 dans Survol par William Clavey

Vous vous souvenez de la Toyota Tercel? Je suis certain que vous en avez vu une sur la route ce matin en allant travailler. Pourtant, cette petite bagnole japonaise n’est plus vendue depuis près de 20 ans, mais la plupart des exemplaires vendus tiennent encore la route! La Toyota Yaris est sa remplaçante, et comme la Tercel, elle n’est absolument pas tuable.

On achète une Yaris d’abord parce qu’on n’a pas nécessairement un gros budget pour une auto neuve et que l’on désire quelque chose de fiable, facile à entretenir et offrant une bonne économie d’essence. Elle est parfaite pour un étudiant ou quelqu’un demeurant dans une grande ville et qui ne prend sa voiture qu’à quelques occasions. La Yaris, avec son prix de départ de 15 390 $, est une des rares voitures neuves se vendant sous la barre des 20 000 $, et ce, même une fois bien équipée.

Sous son minicapot se trouve un quatre cylindres de 1,5 litre développant 106 chevaux, le tout, dirigé uniquement vers les roues avant. Les Yaris à hayon peuvent être livrées soit avec une boîte manuelle à cinq rapports ou une automatique à quatre rapports, alors que la Yaris berline propose des boîtes manuelle ou automatique comptant six rapports. Toyota prévoit une consommation mixte ville/route variant de 6,6 à 7,4 L/100 km, selon la version.

On peut soit opter pour une Yaris Hatchback à trois ou à cinq portes, ou bien une Yaris berline avec un comportement routier un peu plus dynamique. Pour l’année-modèle 2018, la version à hayon vient de série avec les sièges chauffants, la caméra de recul, la connexion Bluetooth et l’ensemble de technologies d’aide à la conduite Toyota Safety Sense C. Somme toute, c’est une bonne petite voiture abordable et bien équipée!

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