Antoine Joubert partage ses impressions sur le nouveau Nissan Ariya
De passage à l’émission Salut Bonjour, le chroniqueur du Guide de l’auto Antoine Joubert partage ses impressions du nouveau VUS électrique de Nissan, le Ariya.
Bien qu’il ne soit pas du même format que la LEAF, l’utilitaire remplace en quelque sorte la petite voiture — tout en s’adressant à un autre public en raison de son format et de son prix. « La LEAF sur notre marché est en fin de vie et bien qu’il y ait des rumeurs quant à son remplacement, je ne suis pas persuadé que la nouvelle LEAF — s’il y a lieu — viendrait sur le marché nord-américain », estime Antoine.
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Spacieux
La taille de l’Ariya est très semblable au Nissan Rogue, mais l’habitacle ressemble plutôt à celui d’un Murano — grâce à son espace généreux. « Je dirais que c’est l’un des plus gros avantages de ce produit que d’être extrêmement spacieux, comme c’est le cas avec le Volkswagen ID.4 qui — pour moi — est son plus proche rival », poursuit-il. Le Tesla Model Y, le Ford Mustang Mach-E, les duos Kia EV6/Hyundai IONIQ 5 et Subaru Solterra/Toyota bZ4X sont également d’autres concurrents.
Nissan possède une gamme complète qui comprend des modèles à roues motrices avant et à rouage intégral. L’autonomie varie de 330 à 490 km. « Celui que j’ai conduit de Montréal jusqu’ici [à Québec], c’est une version à traction avec la plus grosse batterie. […] Je suis parti de chez moi avec une autonomie de près de 500 km et je suis arrivé ici avec 125 km d’inscrit à l’odomètre — alors que le régulateur de vitesse était réglé à 110 km/h », mentionne Antoine.
Le comportement routier n’est pas particulièrement excitant. Le chroniqueur considère que l’Ariya effectue un bon travail pour les besoins quotidiens. Par contre, il apprécie l’ergonomie de l’habitacle et le confort relevé des sièges.
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