La cinquième génération de Supra doit plus à BMW qu’à Toyota. En effet, les moteurs, trains roulants, le châssis et l’intérieur sont fournis par le constructeur munichois. Si le 4 cylindres 2,0 litres turbo de 255 chevaux est un peu juste pour les quelque 1,5 tonne de l’engin, le 6 cylindres 3,0 litres turbo de 382 chevaux fait un excellent travail pour faire ressortir les qualités du châssis, d’autant qu’il peut être couplé à une boîte manuelle à 6 rapports.
Feu vert
- Boîte manuelle très réussie
- Six cylindres souple et puissant
- Tenue de route impeccable
- Ergonomie de conduite
Feu rouge
- Un peu lourde pour sa taille
- Soute cargo peu accessible
- Absence de rangements
- Visibilité générale limitée