BMW Série 1 ou Série 2 : quelle est la différence?
Pour plusieurs, la BMW de référence est la Série 3, une authentique compacte et la voiture la plus populaire de la marque. Ceux qui recherchent une tenue de route et une maniabilité typiquement bavaroises dans un format plus petit – mais pas nécessairement moins cher – peuvent toutefois se tourner vers la Série 2.
Il faut savoir que cette dernière existe en deux configurations distinctes : un coupé et un cabriolet sur une architecture à propulsion, de même qu’une berline à quatre portes (appelée Série 2 Gran Coupé) qui se veut une traction à la base.
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On se rappellera aussi que BMW a déjà commercialisé au Canada une Série 1, soit jusqu’au terme de l’année-modèle 2013. Par la suite, c’est le coupé/cabriolet de Série 2 qui a pris le relais. Mais y avait-il des différences entre ces voitures au-delà du chiffre?
Pour 2014, la Série 2 est arrivée comme une évolution majeure de la sous-compacte de BMW. Nouveau design, nouvel habitacle, nouvelles technologies plus modernes. Pensons par exemple à l’écran central avec système iDrive commandé par la molette sur la console.
En termes de dimensions, elle mesurait 63 mm de plus en longueur et 25 mm de plus en largeur. Ses voies avant et arrière se voulaient plus larges également. Sans surprise, son poids a augmenté – on parle d’une bonne vingtaine de kilos.
À moins d’être un fin connaisseur, l’impact sur le plan de la conduite n’est pas considérable. Ce sont davantage les passagers qui voyaient le changement, avec plus d’espace notamment à l’arrière. Le coffre, lui, a pris quasiment 40% d’expansion pour frôler les 400 litres. C’est génial pour un couple qui désire faire un long voyage de plusieurs jours.
Sous le capot, on note des différences également. La Série 1 comptait uniquement sur un moteur à six cylindres en ligne, mais sa puissance pouvait varier de 230 à 300 chevaux. La Série 2 a emboîté le pas à un nombre grandissant de voitures en adoptant un quatre cylindres en version de base. Les conducteurs ont malgré tout gagné au change puisqu’elle développait 241 chevaux. Quant au six cylindres optionnel, il a bondi à 322 chevaux.
Tant la Série 1 que la Série 2 ont offert une version de performance, soit la 1M et la M2, respectivement. L’une ne faisait guère mieux que 335 chevaux, alors que l’autre en développait 30 de plus. Et n’oublions pas cet autre avantage de la Série 2 : contrairement à sa devancière, elle proposait l’option du rouage intégral xDrive. Pour bien profiter de la voiture en tout temps, toute saison, surtout dans le climat du Québec, c’est un gros pensez-y bien.