Photo: Camille Proulx
Il s’agit d’un modèle « low option », dépourvu de tout artifice qui soit. L’acheteur moyen de ce type et de ce format de véhicule se tournait habituellement vers les Dodge Monaco et Plymouth Gran Fury, construits sur la même plateforme et offerts à moindre coût.
L’acheteur désirant s’offrir une Chrysler optait généralement pour la version « high option » qui comprenait des caractéristiques haut-de-gamme (pour l’époque) telles que la colonne de direction inclinable, les vitres de custode pivotantes aux portières avant, le régulateur de vitesse ainsi que le « fuel pace saver » (indicateur de surconsommation de carburant), soit un voyant lumineux indiquant au conducteur si la fougue de sa conduite était raisonnable ou trop enthousiaste.