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Les pires ennemis d’un acheteur de véhicule d’occasion

Publié le 3 septembre 2024 dans Véhicules d'occasion par Le Guide de l'auto

Acheter un véhicule d’occasion représente souvent une solution avantageuse. Bien sûr, pour cela, il faut faire ses devoirs et se méfier de certains pièges. Autrement, on peut se retrouver à dépenser beaucoup plus d’argent qu’on le croyait au départ.

Si les experts automobiles comme Le Guide de l’auto et CAA-Québec, les spécialistes en atelier et les forums de discussion constituent de bons alliés, quels sont les « ennemis » d’un acheteur? En voici quelques exemples…

Le manque d’information

Acheter sans bien évaluer ses choix et sans se renseigner sur le véhicule et son historique est très certainement la pire chose à faire quand on parle de véhicules d’occasion. Des recherches en amont s’imposent pour s’assurer du bon état et de la fiabilité du modèle. Ça inclut par exemple le rapport Carfax, les documents d’entretien et la banque de données des rappels de sécurité de Transport Canada. En outre, solliciter un deuxième ou troisième avis peut être bien utile.

Photo: Alain Morin

Des informations trompeuses

Se renseigner est une chose, mais encore faut-il que les informations soient justes et complètes. Il peut arriver qu’une annonce soit trompeuse, que l'odomètre ait été trafiqué ou que le vendeur manque de transparence. C’est pourquoi il est important d’inspecter soi-même le véhicule d’abord, d’en faire l’essai routier de façon adéquate, puis idéalement de le confier à un atelier indépendant et de confiance pour une inspection détaillée. L’acheteur en a pleinement le droit et le devoir.

Les vices cachés

Tout acheteur doit savoir dans quoi il s’embarque, bien sûr. Or, au Québec, le Code civil oblige les vendeurs particuliers, comme les professionnels, à déclarer les vices cachés des véhicules usagés. Faites affaire avec un particulier ou un vendeur en qui vous avez confiance et ne négligez aucune des étapes d’inspection et de vérification décrites plus haut.

Photo: Unsplash

Les aspects légaux de la vente

Au-delà du véhicule en soi, il y a tout l’aspect de la transaction. Parmi les procédures à connaître, une que trop de gens oublient est de consulter le Registre des droits personnels et réels mobiliers (RDPRM) afin de s’assurer que le véhicule d’occasion ne comporte aucune dette ou charge au nom de la personne qui vend le véhicule. En effet, si ce dernier est encore associé à une créance ou droit de rétention, l’acheteur s’expose à la possibilité que le véhicule soit saisi, même si l’acquisition a été faite récemment en toute légalité.

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